desirrepublicain

Certains élus de droite s'offusquent lorsqu'une municipalité veut aller plus loin que les 20 % de logements sociaux légaux et 25 % à venir. 
Encore pire si ces logements lociaux doivent se situer en centre ville dans la révision du futur Plan d'Occupation des Sols.

Mais avant de s'offusquer, ces élus savent t-ils seulement quels sont les différents logements sociaux et à qui peuvent t-ils s'adresser ?
 http://vosdroits.service-public.fr/F15591.xhtml
Quand en ile de France une personne qui gagne 20 000 € par an soit ~ 1 700 € par mois a du mal a trouver un studio  dans le privé n'est il pas temps que la commune intervienne pour que ces personnes puissent se loger en centre ville...?
A priori non ! 

Je cite ceux qui se reconnaitront 

Alors que tout le monde sait que, avec 29 % de logements sociaux, notre commune dépasse très largement dans ce domaine le pourcentage obligatoire, on comprend mieux maintenant la volonté frénétique de densifier l'habitat en centre-ville voulue par la gauche castelviroise qui cherche un second souffle électoraliste avec le Plan Local d'Urbanisme (PLU).

Si aujourd'hui je parle de ce problème c'est aussi parce qu'il ne touche pas que le problème du logement que je qualifierais habituel, mais aussi du logement "professionnel" 
Cet été je crois que c'est RMC, a rapporté le fait que les employeurs et particulièrement les restaurants et commerçants de Saint Tropez avaient du mal à trouver des employés.
Non pas parce que ces derniers n'étaient pas qualifiés, mais parce que le logement y était beaucoup trop cher. 
Evidement ...pas de logements prévus pour recevoir les travailleurs estivaux qui au final sont perdants...mais pas question de logements sociaux...

Nous devons non seulement repensenser les logements sociaux mais en plus faire en sorte que les ban lieue ....(les logements situès à une lieu du ban) disparaissent !  
Donc oui les logements sociaux doivent se situer en centre ville

Souvenons nous d'ailleurs que les batiments hausmaniens s'ils n'étaient pas sociaux s'adressaient en fonction des étages à des catégories sociales différentes et permettaient donc un brassage social qui n'existe plus aujourd'hui.

La mixité sociale doit redevenir une priorité.