desirrepublicain

Durant la semaine, nous avons appris qu'un gamin de 8 ans avait refusé de respecter la minute de silence .

Pire il avait réagi en justifiant les actes.

Cet élève a justifié ces actes, peu importe que l'on soit pour ou contre, peu importe qu'il les comprenne.

Ce pose le problème de l'autorité.

Aujourd'hui les enseignants n'ont plus l'autorité sur certains enfants car ils savent que leurs parents viendront les défendre et ce quel que soit leur comportement.

Qu'il s'agisse de pédagogie, ou de respect, c'est pareil.
Nous aurons donc des élèves qui ne feront rien puisqu'ils savent que de toute façon leurs parents , en fin d'année, feront appel. D'autres qui diront n'importe quoi ou auront des comportement outrancier car ils savent que leurs parents viendront les défendre.

Ces cas sont exceptionnels mais ils se multiplient et heureusement les médias n'en parlent pas tout le temps.
deux exemples simplement qui datent d'il y a trois ans .

Personne ne s'était ému lorsqu'une directrice avait appelé les gendarmes pour trouver les élèves

 coupables-de-graffitis-injurieux-en- 2011

Un autre enfant a lui été exclu trois semaines de l'école à cause de son comportement-injurieux

Imaginez que les gendarmes aient trouvé le coupable dans le premier cas. Qu'auraient ils fait ? Le convoquer lui et ses parents à la gendarmerie ?

Dans le cas qui fait l'actualité, s'il fallait convoqué l'enfant au commissariat, c'est pour savoir ce qui l'avait amené à tenir de tels propos, quel était son environnement et si il fallait l'en protéger !

Sans doute peut on s'étonner que l'enfant n'ait pas té entendu par une psychologue, ou une assistante sociale, mais en avons nous les moyens ?