florent1968

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17/11/2007

SARKOZY ET DEBY ONT ILS COMPLOTE ?

Aujourd'hui pour la premiere fois je vais citer une agence tchadienne qui m'a fait parvenir des mails...
Ce qui m'y incite c'est le fait qu'un des reportages qu'elle publie soit signé par Florence Aubenas. Reporter emerite.


Extraits

"Dans «la Petite Europe» d'Adré, une main a écrit «19 octobre» en haut du tableau noir et en-dessous les lettres de l'alphabet. C'est la date où Children Rescue annonce à l'équipe locale que les rebelles préparent «une attaque imminente». Par sécurité, les enfants doivent «être évacués provisoirement à Abéché», 170 kilomètres plus loin. Un congé de deux semaines est donné aux employés.
A Abéché, le commissaire se souvient que «les humanitaires se sentaient des héros et répétaient : «On sauve des enfants, on le referait au besoin. C'est une honte, personne ne bouge pour le Darfour.» Ils étaient sûrs de revenir à leur base après un petit interrogatoire.» C'est lui qui a arrêté, en flagrant délit et sans la moindre bavure, les six membres de l'association qui roulaient vers l'aéroport, le 25 octobre, avec 103 gamins dans huit voitures. 103 certificats ont été saisis : les enfants y sont enregistrés sous de faux noms et en qualité d'orphelins. A la case «conditions de la mort des deux parents», reviennent toujours les mêmes phrases stéréotypées, du genre «tué par les rebelles il y a quatre ans». Une formule clôt le document, précisant que l'enfant est confié «à Children Rescue pour sa survie dans de meilleures conditions». Toutes les attestations semblent avoir été faites en même temps; elles sont écrites d'une seule plume, datées d'Adré (y compris pour les enfants venant d'autres régions) , tamponnées d'un cachet de facture semblable, visiblement humecté du même encreur. Le sceau précise «West Sudan», mais porte le nom de quatre cheikhs différents, dont celui de Souleimane. Pour le commissaire d'Abéché, ces documents établissent que les membres de l'Arche de Zoé «auraient eu les moyens de se rendre compte que les enfants n'étaient ni du Darfour ni surtout orphelins s'ils l'avaient voulu». Le point est important : la peine des six Français peut varier de cinq à vingt ans de travaux forcés, selon que leur bonne foi sera établie ou non, explique le procureur d'Abéché.

Pour le moment, les 103 enfants sont placés sous l'autorité de l'Etat tchadien et gardés comme un trésor dans un orphelinat d'Abéché. «Il faut agir avec circonspection mous devons être sûrs de l'identification des enfants et de l'innocence des parents avant de les restituer à la famille», explique Honoré Abou, du centre social d'Abéché. Si les deux tiers viennent d'Adré, les autres seraient de Tiné, autre ville frontière avec le Darfour. Ce sont les autorités administratives qui là-bas ont servi d'intermédiaires : le préfet, le maire et deux chefs de quartier ont été arrêtés.

Dans les villages de brousse du massif du Ouaddaï, l'affaire a éclaté comme le tonnerre. Les femmes ont dit aux hommes : «Tu as donné mon enfant ? Va me le rechercher.» Alors les pères sont là, collés contre la grille de l'orphelinat d'Abéché. Ils mangent à peine, dorment où ils peuvent. Aucun n'en veut à Souleimane. «Il voulait aider on ethnie. Quelle importance y a-t-il à être du Darfour ou du Tchad ? Nous sommes tous des Massalites, et tous nos enfants n'ont-ils pas droit à l'école ? Souleimane est notre bienfaiteur, il a été dupé par les Blancs.»

Florence Aubenas
Envoyée spéciale au Tchad
Le Nouvel Observateur


S'il y a une grande partie de vrai dans ce reportage il est égalment très facile de rejeter la seule faute sur les seuls "blancs" quand dans une affaire il y a un ensemble de personnes qui doivent intervenir "noir" comme "blancs". Cela permet aussi de donner bonne conscience au peuple qui se cache le fait que en son sein il existe aussi des membre "pourris" qu ont servi d'intermédiaires à une opération non officielle !


Le deuxième extrait est un entretient entre le député TCHADIEN NGARLEGY YORONGAR et un journaliste de l'indépendant
D'apres ce député l'opération Children rescue ne serait pas une opération montée par de illuminés ou par une petite association mais tout simplement par une association dont tous les membres étant connus directement ou indirectement par Nicolas Sarkozy, cela lui permettait d'oraniser une opération de sauvatage d'enfant pour redorer son image juste avant de lancer les forces europeennes sous directions française à la frontière du Darfour !


Ngarlegy YORONGAR " l 'Arche de Zoé alias Children Rescu). Une fois le scandale éclaté, cela pousse M. Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa aux premières loges des dessous de la «lamentable équipée» de l'Arche de Zoé. Voici quelques bonnes adresses des Sarkozy pour vos confrères tatillons qui aiment vérifier ces informations que j’ai mises à votre disposition pour être publiées dans édition du 6 au 13 novembre 2007.
Dr François Sarkozy de NAGY-BOCSA est lié à Mme Stéphanie LEFEBVRE (lefebvre.s@parisbiotech.org) directrice de Parisbiotech.org et Mme Catherine Grandazzi (catherine_grandazzi@yahoo.fr), responsable de Maia (www.maia-asso.org) et secrétaire générale du collectif des familles pour les orphelins du Darfour (COFOD).
C’est une association 1901 déclarée à Paris (www.cofod.fr), toutes deux sont des vielles relations de M. Eric BRETEAU, Président et initiateur de l'opération foireuse «Children Rescue» au Tchad. Les deux protagonistes se connaissent, dit-on, depuis 15 ans.
Or, Mme Stéphanie LEFEBVRE est la directrice adjointe de Paris Biotech Santé (http://www.parisbiotechsante.org/jo/1/" target="_blank">http://www.parisbiotechsante.org/jo/1/).
Dr François Sarkozy de NAGY-BOCSA a été comme vous le savez vice-président du conseil de surveillance de «Bio Alliance Pharma» et associé au sein d‘AEC Partners http://librafrique.com/index.php?option=com_alphacontent§ion=1&cat=1&task=view&id=59&Itemid=41" target="_blank">http://librafrique.com/index.php?option=com_alphacontent§ion=1&cat=1&task=view&id=59&Itemid=41)
«Pédiatre de formation, Dr François Sarkozy de NAGY-BOCSA fut successivement directeur médical France d’Aventis Pharma, directeur médical et pharmaceutique France de Hoechst Marion Roussel, directeur du développement international, responsable du développement clinique international et chef de produit au niveau mondial pour les antibiotiques chez Roussel-Uclaf, assistant au sein du département de physiologie respiratoire à l‘AP-HP.
C‘est également au sein de l‘AP-HP que Dr François Sarkozy de NAGY-BOCSA a réalisé son internat en pédiatrie (Interne des Hôpitaux de Paris), titulaire de MBA obtenu auprès de l‘INSEAD, si l'on en croit Bio Alliance Presse du 5 janvier 2006 dans un communiqué de presse.
Que fait exactement BioAlliancePharma où travaille dur Dr François Sarkozy de NAGY-BOCSA ?
La compagnie a développé des médicaments comme le Doxorubicin Transdrug® pour traiter des maladies décrites comme mille fois plus virulentes en Asie du Sud-est et en l'Afrique sub-saharienne, si l'on prête foi à Boursorama.
D'autre part, pour développer ces remèdes, la société a fait appel à des expérimentations sur des patients, comme, par exemple, pour le Loramyc, 540 patients sur 40 sites répartis entre les Etats-Unis, le Canada et l'Afrique du Sud», peut-on lire sur Smartbrief.
«Coïncidence, M. Eric Breteau, ses coauteurs et complices de l'Arche de Zoé voulaient «évacuer» 10.000 orphelins du Darfour vers la France, le Canada et les Etats-Unis.
Quant à AEC Partners» où siège Dr François Sarkozy, de NAGY-BOCSA «Son plus riche client est le géant américain Pfizer, leader mondial de l'industrie pharmaceutique, spécialiste entre autre du traitement de la maladie d'Alzheimer, «Grande Cause nationale» de la République de M. Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa en 2007. ll n'y a bien entendu aucun rapport entre le fait que son frère cadet, Dr François Sarkozy ait, pour plus riche client, le géantisme Pfizer et le fait que la maladie d'Alzheimer devienne grande cause nationale de la France.


L’Indépendant: Que savez-vous des 74 gamins déjà convoyés en France ?

Ngarlejy Yorongar: Pour le cas d’espèce il s’agit non pas d’une tentative d’enlèvement, mais d’un enlèvement, séquestration, tentative de vente des 103 gamins interceptés par la justice d’Abéché et vente éventuelle des soixante-quatorze (74) gamins déjà convoyés en France. Donc, il est impossible d’extrader ces malfrats. C’est pourquoi, M. Nicolas Sarkozy de NAGY-BOCSA estime que les Français bon teint comme les Breteau ne doivent pas être arrêtés, placés sous mandat de dépôt, jugés et condamnés par de «vulgaires nègres juges et esclaves du Tchad», «quoi qu’ils aient fait aux bébés du Tchad» comme c’est le présent cas. A cet effet, la copie de la lettre adressée par le Secrétaire Général du Réseau des ADH du Tchad (RAT) au Procureur Général mentionne qu’une plainte a été dressée contre Arche de Zoé en septembre 2007 par ce Réseau. Cette lettre décrit le trajet emprunté par M. Alain Péligat un des responsables de Children Rescu et les soixante-quatorze (74) enfants kidnappés, lesquels sont embarqués dans un avion qui atterrit; le 17 septembre 2007, à Mourmelon-Le-Petit (aéroport militaire). Ensuite, ils ont emprunté le train N 39881 (deuxième classe) à 06 heures 34 minutes pour la gare de Chalons. De Chalons, ils ont pris le TGV 02778 (toujours en deuxième classe) pour la gare de Paris Est où ils sont arrivés à 08 heures 00. De là, un véhicule N 15 les embarque pour ensuite disparaître dans la nature. Pour prouver sa bonne foi, le Réseau produit un papier qui mentionne un dossier N QZOKZK suivi d'un mot manuscrit mal écrit et le nom de M. Alain PELIGAT, responsable de collectif des familles pour les orphelins du Darfour (COFOD),


La Tribune de Genève, du 2/11/07 que «La responsabilité tchadienne établie: Idriss Deby a rencontré le Président de l'association Arche de Zoé», M. Eric Breteau. Il faut rappeler qu’au Tchad également des multiples kidnapings des gamins et gamines, des hommes robustes et des femmes solidement fortes, originaires principalement du centre et du sud du pays ont été opérés de la même manière par les militaires membres de la famille de M. Idriss Déby pour en faire des esclaves destinés aux divers travaux domestiques notamment les travaux champêtres, le puisage d’eau, à la recherche des foins pour les chameaux, des bois de chauffe etc. (lire Tchad, le procès d’Idriss Déby, témoignage à charge, Editions l’Harmattan, septembre 2003, par Ngarlejy Yorongar). Tout comme les Sarkozy, les Déby sont parfaitement au courant de ce qui allait se passer. «M. Idriss Déby et président de l'Arche de Zoé, Eric Breteau, se sont rencontrés courant septembre» précise la Tribune de Genève. «Le rendez-vous a eu lieu en catimini en début de soirée dans la résidence privée d'Idriss Déby à N'Djamena», en dehors de l'agenda officiel» Et Maître Collard, avocat des Breteau de se faire plus précis: «Si cela est vrai, ça confirme ce que nous disons la vérité depuis le début de l'affaire. A savoir que l'opération était connue des autorités tchadiennes et françaises et que l'interdiction soudaine qui s'est abattue sur la réalisation de cette opération est une énigme». Eric Breteau qui était effectivement au Tchad en septembre aurait passé un accord avec le président. A l'appui de cette thèse, notre interlocuteur avance que c'est le palais présidentiel qui a délivré l'autorisation d'atterrir au Boeing 747 affrété par l'Arche de Zoé. Abéché étant considérée comme une zone de guerre, il ne pouvait pas en être autrement» confirme le journal. «L'avion n'aurait pas pu décoller puis atterrir sans un plan de vol directement approuvé par le président (…).

Plusieurs personnes évoquent le rôle joué depuis Paris par Abacar Manany, conseiller spécial d'Idriss Déby. Décoré de la Légion d'honneur par Jacques Chirac en 2005, ce diplomate aurait tout mis en oeuvre pour que Paris et N'Djamena stoppent l'opération et la réprouvent, de part et d'autre, avec la même vigueur. Il reste que le rendez-vous jusque-là tenu secret entre Idriss Déby et le président de l'Arche de Zoé soulève de nouvelles questions. Idriss Déby dit que son gouvernement a été trompé et que l'association a menti sur ses intentions. Qu'avait-il été convenu en septembre»? Il reste que le rendez-vous jusque-là tenu secret entre Idriss Déby et le président de l'Arche de Zoé soulève de nouvelles questions. Idriss Déby dit que son gouvernement a été trompé et que l'association a menti sur ses intentions. Qu'avait-il été convenu en septembre? Un secret pour personne. L'Arche de Zoé n'a jamais caché que son intention était de rapatrier un maximum d'enfants. Ce n'était un secret pour personne, ni en France ni au Tchad. Aujourd'hui, dix-neuf personnes (neuf Français, sept Espagnols, deux Tchadiens et un Belge) sont poursuivies pour «enlèvement de mineurs». Aucune n'a pu encore s'exprimer librement sur le fond de l'affaire. Du côté de la mission diplomatique du Tchad à Genève, on refusait hier «d'infirmer» ou de «confirmer» qu'il y avait bien eu une rencontre en septembre entre Idriss Déby et Eric Breteau. Il y a parfois des opposants qui essayent de récupérer cette affaire pour dire n'importe quoi», se bornait-on à commenter. Si c'est le cas, les opposants se trouvent aussi dans les rangs de l'actuel gouvernement». Ce sont des blessés de guerre. Des enfants à évacuer d'urgence. Un stratagème monté par Eric Breteau et ses disciples. Une ruse grossière, guignolesque. Le pompier d'Argenteuil a transformé des enfants bien portants en estropiés rescapés de l'enfer du Darfour. Faux bandages sur la tête, perfusions aux bras, pansements maculés de Betadine. Une mise en scène digne d'un mauvais film. Il a aussi organisé un autre truquage, tout aussi grave. Il a inventé une fausse immatriculation pour son association de choc, Children Rescue, la couverture de son raid tchadien. L'ONG affirme être inscrite auprès de la Préfecture de Police de Paris, mais fournit aux autorités locales un faux numéro d'enregistrement. Officiellement, l'Arche de Zoé, elle, est bien inscrite à la Préfecture de Paris sous le n°05/2346/00171/192. Children Rescue apparaît, elle, sur ses documents sous le matricule 05/2386/0271/592. Pratiquement le même ? Un habile faux pour brouiller les pistes et user de ce passe-droit en territoire tchadien pour berner tout le monde, ONG installées, sur place, incluses.

En fait, Children Rescue est un fantôme administratif. L'association n'a jamais été enregistrée. Mais les Rambo de l'humanitaire n'ont que faire de la paperasse et des chicaneries bureaucratiques. Ils sont en mission. Rien ne doit l'empêcher d'aboutir. Ni le gouvernement français, ni ces ONG trop sages qui respectent les lois locales, ni les autorités tchadiennes qui ne doivent se douter de rien. Pour embarquer les enfants vers «la liberté et la sécurité», l'équipée est montée comme une opération des services secrets. L'appareil qui doit transporter les 103 enfants ? fi a des allures d'avion furtif : un Boeing 757 de la compagnie charter espagnole Girjet, garé en bout de piste, caché derrière un terre-plein sur le petit aéroport d'Abéché. Parti de Madrid, il a changé de nationalité en cours de route. Il devient islandais au Tchad. Le scénario de «l'exfiltration» est simple : les passagers monteront à bord au petit jour, à l'abri des regards, grâce à une échelle de fortune fabriquée par Children Rescue. Pour rejoindre l'appareil, le convoi empruntera une piste isolée, afin de contourner la base française et les zones habitées. Départ à la sauvette. Quasi clandestin. Le commando n'a pas le choix. Il est en «résistance contre la lâcheté des hommes. Ont-ils seulement conscience qu'ils sont en train d'organiser une forme de rafle, de razzia» ? En effet, Children Rescue n’est enregistré nulle part. Ni en France, ni au Tchad. Juste une site Internet logé aux Etats-Unis. En dépit de tout ce qui précède, il est prévu qu’une haute personnalité française fasse le déplacement pour accueillir ces petits enfants tchadiens volés à leur arrivée à l’aéroport militaire prévu à cet effet. Ce déplacement aura, pour seul but, de réaliser un coup médiatique dans le dessein du lancement des forces françaises basées au Tchad, muées en forces en de l’Union Européenne avec le parapluie et la bénédiction des Nations-Unies comme en Côte d’Ivoire. Comme deux larrons en foire, MM. Idriss Déby d’AMDJARASSE de KORNOY et Nicolas Sarkozy de NAGY-BOCSA s’entendent parfaitement sur tous ces détails. Manque de pot, un tout petit disfonctionnement dans l’opération les a tous fait prendre la main dans le sac. En se cachant tantôt chez un de ses très proches parents tantôt dans son jardin privé pour recevoir M. Breteau, M. Idriss Déby ne veut pas que cette audience figure pas son agenda officiel de la Présidence de la République.

http://www.alwihdainfo.com/articles/voir_art.php?numart=9...

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