28/01/2009
SARKOZY DEVRAIT ECOUTER COPE "voilà une grève que l'on va voir".
ou dit autrement "désormais quand il y a un jour de grève tout le monde s'en rend compte"
Dimanche, tout allait bien pour Xavier, par contre un qui l’avait mauvaise c’est Jean François
Dans un entretient au Parisien il commençait a régler ses comptes avec Nicolas
Comme tous les grands dirigeants, Sarkozy utilise les « hommes » puis les écarte.
Ceux qui sont à des postes de pouvoir (ministres), n’ont pas de réelles influences sur la politique gouvernementale.
L’un des poste clé est celui qui va dirigé l’UMP. Car même s’il sera le vassal de Sarkozy il sera de fait le n°2 du gouvernement
On comprend donc que Copé ait mal vécu d'avoir été «viré du gouvernement» en 2007 et encore plus d’avoir été viré de l’UMP dimanche dernier par le président. «Quand vous servez votre pays pendant cinq ans» comme ministre, «que vous vous êtes beaucoup battu pour que votre candidat (Nicolas Sarkozy) gagne et qu'il vous accueille -très gentiment- en vous disant : Eh bien, tu ne seras plus ministre (. .) vraiment, ça m'a fait mal à l'estomac», déclare-t-il dans «Questions de génération», une émission-débat avec des lycéens parisiens. Et encore
Dans ce même entretien Copé revenait sur le fait qu’il reconnaissait avoir des dents longues mais Sarkozy peut il le lui reprocher quand lui-même s’est déclare candidat 4 ans avant l’élection (j’y pense en me rasant à été prononcé en 2003 CQFD)
«J'ai dit 2017 et pas 2012 pour deux raisons. La première, c'est qu'on a toutes les raisons de penser que si Nicolas Sarkozy se présente, eh bien on doit être derrière lui, parce que c'est nos idées, même si parfois j'ai des différences avec lui», souligne t-il. Il faut également «être prêt». «On n'est pas prêt parce qu'il y a une élection, on est prêt parce qu'au fond de soi, on a accumulé la culture, la réflexion, l'envie de faire», ajoute-t-il.
Il veut rester patron des députés UMP
Samedi, en marge du conseil national de l'UMP, Jean-François Copé, a tenu à distinguer le parti et le groupe UMP à l'Assemblée, assurant qu'ils allaient «travailler en bonne intelligence», mais «chacun dans son rôle».
Aujourd’hui même sur RTL moment où la politique Gouvernementale est en mal de lisibilité, Jean François Copé se moque du "service minimum".: "voilà une grève que l'on va voir".
Il se moque ouvertement des propos du Président de la République qui ironisait sur les "grèves que l'on ne voyait plus depuis son élection". C'est une grève populaire (70 % de soutien en moyenne dans les sondages et 55 % dans l'électorat de droite). C'est un message sérieux d'alerte sur la politique sociale du Gouvernement qui apparait trop proche de certains pouvoirs économiques et pas assez de "la France d'en bas". Le dossier des banques devient un réel abcès de fixation. Le vote des Européennes s'annonce un temps politique très dur pour la majorité présidentielle avec un réveil particulièrement difficile.
Demain nous verrons se que donnerons les grèves, je serais dans les cortèges et pour cela je prendrais un jour de éretetté. D’après ce que j’entends il y aura non seulement des personnes de la fonction publique mais également des assimilés qui en ont marre de voir leurs entreprises faire des bénéfices et ne pas y participer contrairement à l’Allemagne (je pense ici notamment à l’EDF et la SNCF qui ont fait deux années de bénéfices nets sans faire ni investissement ni redistribution des dividendes aux personnels par contre les dirigeants s’en s’ont foutu plein les fouilles) mais je suis sur certaines personnes du privé en ont marre de se serrer la ceinture et rejoindront le cortège soit parce qu’elles n’ont plus grand-chose à perdre, soit parce qu’ont leur demandent sans cesse depuis 5, 6 7 ans de faire des efforts et que elles non plus ne sont pas payées en retour.
Il peut s’agir des transporteurs, de certains artisans, de sous traitants qui chaque année doivent fournir la même qualité au même prix…avec la même qualité de pièce alors que les matières premières augmentent constamment désolé à un moment donné il faut ou lâcher du lest ou dire clairement nous produisons et produirons tout hors C.E dans le pays où la main d’œuvre sera la moins chère.
Les employeurs doivent avoir le courage de dire ce qu’ils veulent maintenir en C.E
Les politiques dire comment ils veulent faire en sorte que les productions ne soient pas délocalisées et réduire les entrées de marchandises produites hors C.E comme le font la Chine, les USA.
La France seule n’y arrivera pas, pas plus que la GB seul ou la seule Allemagne.
http://www.metrofrance.com/x/metro/2008/11/27/s5nNMTZfB3u...
Il faut une Politique Européenne
Et ce n’est pas en dénigrant les autres dirigeants européens ou en voulant monopoliser le pouvoir que M Sarkozy arrivera à nous sortir de la nasse dans laquelle nous sommes
Écrit par clemenceau | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : actualité, sarkozy, royal, greve, politique | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer | |