14/09/2006
REGIMES SPECIAUX ET PRIVILEGES
De nombreux pontes de droites nous disent que le système de retraite est à revoir dans son entier et plus particulièrement les régimes spéciaux.
Si nous sommes pas en total désaccord avec le fait qu’il faille remettre en cause les privilèges de certains secteurs d’activités qui ont évolué, il y a d’après nous d’autres point à revoir.
1) Les régimes spéciaux des élus et plus particulièrement ceux des députés et sénateurs.
2) Les régimes spéciaux des Notaires
3) Les déclarations de revenus et leurs contrôle des artisans, commerçants brassant de nombreuses sommes d’argent et revendant la plupart du temps sans la déclarer leur clientèle ou leur participation (taxi, boulanger…)
Une fois revue tous ces régimes nous pouvons posés le problème des retraites et nous poser la question simple Est il logique qu’il y est des régimes spéciaux ?
De notre point de vue OUI !
Cependant il faut reconsidérer la spécificités de ces régimes.
Quelques exemples.
S’il était logique qu’un employé conducteur de train est la retraite plus tôt il y a 50 ans du fait de la difficulté du travail, cette difficulté n’est plus la même aujourd’hui.
Elle doit donc être reconsidérée à sa juste valeur.
A l’opposé un employé travaillant sur les chantiers , et plus particulièrement sur les routes (goudronnage, tenue du marteau piqueur…) doit pouvoir au vue de la difficulté du travail prendre la retraite avant 60 ans surtout s’il a acquis 150 trimestres de cotisation.
En fonction de la difficulté du travail nous pourrions ainsi avoir
des métiers où il y aurait une obligation de cotisation pendant 150 trimestres qui seraient les métiers pénibles et de force…
Les métiers où il serait nécessaire de cotiser pendant 155 trimestres qui seraient ceux des salariés non cadre
Les métiers où ils serait nécessaire de cotiser pendant 160 trimestres qui seraient les métiers dit « intellectuels » nécessitent peu d’investissement physique
Pour chaque corps de métiers il serait possible de racheter des trimestres. Ce qui permettraient à une personne qui a débuté son activité professionnelle tardivement de ne pas prendre sa retraite à 70 ans si elle le désire.
Il n’y aurait bien sur aucune distinction entre public, public hospitalier et privé.
Écrit par clemenceau dans societe | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer | |
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