florent1968

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01/02/2011

Titre de la noteLE CONSOMMATEUR EST DEVENU PLUS IMPORTANT QUE LE CITOYEN

 

Au vu des évènements qui se sont déroulés c’est la conclusion que je serais amené à en tirer.

Dans notre beau pays, le consommateur doit être informé sur la composition du produit.

Le citoyen lui s’il n’a pas de moyens financiers n’a pas de droit.

La nation n’assure plus aujourd’hui à l’individu et à sa famille les conditions nécessaires à leurs développements

C’est pourtant un des points du préambule de la constitution !

 

Ce n’est qu’un constat. Je n’invente rien. Je ne fais que décrire un fait.

Mais il y a pire, aujourd’hui en fonction des produits le consommateur a plus ou moins d’information et plus ou moins de droit.

Quand aux citoyens sans droit ils sont de plus en plus nombreux !

 

Ou alors qu’on m’explique

Comment se fait t-il que, alors que la liste des 77 médicaments a été publiée, ceux-ci restent sur le marché jusqu’en mars alors que nous savons que, l’AFFSAPS (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) est «  en train de réévaluer le rapport bénéfice- risques » de certains et que d’autres pourraient être retirés du marché.

Pourquoi prendre un risque supplémentaire alors que nous avons mis en place l’an dernier (et les années précédentes) une politique de prévention ?

Qu’est ce qui justifie que celle-ci ne soit pas suivie pour les médicaments comme elle est appliquée pour les vaccins ou pour certains aliments (qui dès qu’il y a un risque alimentaire sont retirés avec juste raison de la chaine alimentaire)

 

Réponse de Didier Houssin, directeur général de la Santé, « Tous les jours, des malades sont sauvés par des médicaments. Mais ceux-ci ont des principes actifs qui peuvent entraîner des effets indésirables ».

 

Sous prétexte qu’un médicament aura un principe actif, on ne regardera que peu ses effets indésirables et on ne fera pas le bilan entre les effets positifs et indésirables !

De plus, une fois sur le marché, validé par l’AFFSAPS, le médicament ne devra pas refaire ses preuves. Il pourra rester ainsi 10, 15, 20 30 ans sur le marché sans que la molécule n’évolue. La présentation du médicament évoluera (afin que le laboratoire puisse déposer un nouveau brevet, il pourra ainsi de comprime rond à gélule, puis de gélule simple à gélule sécable, puis vous aura un même médicament en grammage différent, mais le médicament en lui-même restera le même)

 

En France nous appliquons partout, ou presque le principe de précaution sauf ce qu’il faut bien appeler le marché du médicament.

Et c’est ainsi que les autorités sanitaires belges ont refusé, dès 1977, la commercialisation du Médiator. Pourquoi ? L’insuffisance de données sur les effets à long terme du produit

 

Mais chez nous c’est  passé comme une lettre à la poste (de l’époque)

 

Deuxième point que j’ai du mal à m’expliquer

Pourquoi n’a ton jamais évalué combien nous coutent le mal logement ? (ou son coût caché)

Entre le fait qu’il faille payer des hôtels, ce qui coute à terme plus cher que de construire des HLM,

Le fait que les personnes mal logées tombent plus souvent malades, (adultes et enfants)

Le fait que les enfants sont déscolarisés et désocialisés avec un risque accru à terme de délinquance et de chômage.

Combien tout cela coute il à la société ?

Sans oublier le fait que faire construire des logements (même) sociaux (pas des barres et des tours des logements) fait travailler des personnes et donc rentrer de l’argent dans les caisses de la sécurité sociale et des caisses de retraite

Combien perd-on depuis 10 ans à ne pas faire une politique du logement en France ?

 

A mon avis ça se chiffre en milliards d’€....mais je pense que ça vaudrait le coup de le chiffrer effectivement tout comme ce qu’a rapporter l’immigration !

 

Dernier point rapide hier je disais que les policiers les juges etc...allaient emboiter le pas aux CRS je ne pensais pas si bien dire :

Les juges administratifs, ont annoncé un mouvement de grève pour le 9 février, craignent pour leur part d'être débordés et le 10 janvier ce sera une grève nationale dans l’éducation le thème ...toujours le même contre les suppressions de postes.

 

Écrit par clemenceau | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | |  Imprimer | Pin it! | | |

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