florent1968

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30/08/2006

REPONSE AU COURRIER

IV: la représentativité est-elle plus définie en France?
a)Elle l'était lorsqu'elle a été établie en 1945 au sortir de la guerre les 5 syndicats étaient plus que representatifs , ce n'est plus le cas aujourd'hui sauf pour la fonction publique ou il y a environ 25% de syndiqués.

Il suffit de voir qu'en France c'est un décret qui fixe la représentativité nationale de 5 syndicats, pas les urnes ou le nombre d'adhérents.
b) C'est en partie vrai. Les urnes les fixes également. Puisque réguliérement tous les trois ans il y a des élections prud'hommales et les élections des representants syndicaux (délégués du personnel au sein des comités d'entreprise) dans lees entreprises privées.
Les participations à ces élections sont trés faibles car non obligatoires et se déroulant en semaine pendant le travail. (il suffit comme un ami l'était d'être dans une PME de vente et distribution pour ne pas être encouragé à aller voté de peur de rater une vente...et donc de perdre de l'argent)
Un autre ami travaille dans une municipalité. il y a eu renouvellement des délégués du personnel il y a 6 mois. Sur un peu moins de 800 personnes, 500 sont allées votées dès le 1er tour ce qui représente ~60% des inscrits.
Si nous nous basons sur ces chiffres certains syndicats sont plus représentatifs que certains partis politiques et ont pourtant moins de pouvoir
Qu'il faille que les syndicats évoluent c'est une chose...qu'ils ne soient pas representatifs...nous somme plus nuancés dans le sens ou l'emploi dans le privé est essentiellement tiré (et c'est très bien) par les PME de 10 employés et moins mais aussi par des trés gros groupes qui se sont divisés en entreprises de moins de 50 salariés voir moins de 10 salariés afin de faire en sorte qu'il n'y ai pas ou peu de représentants syndicaux (Ex Mc Donald, Quick...)


V. D'accord pour le fait qu'il n'y a pas de défense commune. Mais, il faut rappeler que c'est la France qui avait voter contre la Communauté Européenne de Défense lorsqu'elle avait été proposée.
Entiérement d'accord. C'était une autre époque. Il faut de notre point de vue revenir dessus car les économies d'échelle réalisables sont énormes que se soient en matiére de recherche développement, de logistique ou de personnel.


Concernant le volet social: d'accord... mais cela ne remet pas en cause les lois françaises.
Le problème de notre point de vue n'est pas que les lois Françaises soient remises en cause.
Il est de faire en sorte que les autres pays européens évolue socialement et que les pays qui sont mieux armés socialement que la France (Suéde, Norvége, Danemark) ne soient pas perdant.
La couverture sociale doit de notre point vue devenir une obligation pour les Etats de l'union européene .

Enfin, par rapport aux professeurs, la scolarité n'est PAS obligatoire en France. C'est l'enseignement qui l'est. Ainsi, en France, avec nos lois actuelles, tout parent qui a les capacités d'enseigner peut garder son enfant chez lui.
Tout dépend comment nous interprétons le paragraphe suivant du préambule de la constitution .
"La Nation garantit l'égal accés de l'enfant et de l'adulte, à l'instruction à la formation professionnelle et à la culture. L'organisation de l'enseignement public gratuit et laïque à tout les degrés est un devoirs de l'Etat"

Partant de là si effectivement un parent peut garder un enfant pour lui promulguer des cours, il devra être suivi pour voir si les cours donnés son bien en relation avec le programme.
N'oublions que le CNED existe et qu'il permet d'etudier chez soi. Cependant, il faut un controle académique pour suivre la progression de l'enfant.

Écrit par clemenceau dans Europe | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | |  Imprimer | Pin it! | | |