19/08/2010
ON NE MANGE PAS PARTOUT DES CHEESE BURGER ; HEUREUSEMENT...
J'aurai pu aussi intituler cet article "comment défendre l'indéfendable" , ou "deux traitements différents de l'information" , car sur l'affaire dont je vous parle si les mêmes actes c'étaient produits dans une cité à l'intérieur d'une MJC...je ne sais pas quels auraient été les titres de la presse, j'ai préféré le tourner en dérision d'où ce titre !
Peut être suis-je réactionnaire, ou très à cheval sur les principes.
Toujours est-il que j’ai beaucoup de mal de mal à comprendre comment certains parents et, encore plus, comment certains médias peuvent aujourd’hui se poser des questions sur ce qui s’est passé dans le camp de vacance en Hongrie et pourquoi se fut effectivement un fiasco !
D’après le peu d’éléments qui nous ont été rapportés par les différents médias, il y avait dans le groupe des éléments perturbateurs qui ont commi, c’est le moins que l’on puisse dire, des actes d’incivilité, et d'après moi, ont eu de la chance de ne pas être poursuivis par les autorités locales !
Alors certes le directeur du camp de vacance et les animateurs peuvent toujours être mis en cause notamment par les Maires et les parents d’élèves.
Mais lorsque ce groupe de jeunes fait des exploits tels qu’il se fait « jeter » par deux fois des structures d’accueil « quelques jeunes se sont mis à saccager le centre de vacances où ils séjournaient (carreaux cassés, portes défoncées). Bilan des courses le groupe entier fut prié de décamper.
Loin de s'arrêter, les perturbateurs auraient réitéré leurs exploits le soir-même, à Budapest... et de nouveau mis à la porte d'une autre structure par le directeur général des auberges de jeunesse hongroises. » comme nous le rapportent et "Le Parisien" et "Lavoix du Nord" il est évident qu’il ne reste plus grand-chose dans le budget pour faire les sorties prévues.
De plus comme nous l’indique « La voix du Nord » Pierre Debosque (Président de l'organisme) lui, sortait une liasse de billets pour dédommager le chauffeur de bus hongrois dont le véhicule, sur le chemin de Lille, venait d'être saccagé et souillé
Et les parents de ces charmants enfants voudraient se retourner contre l’organisme parce que leur progéniture n’a pas fait de canoë ?
De qui se moque t-on ?
Pendant se temps , même si le président de l’organisme reconnait « Malheureusement, j'ai recruté un directeur incapable de gérer un groupe et j'ignore ce qu'il a fait du budget (3 000 €). » il a tout de même des déclarations pour le moins surprenantes !
Citer comme « facteurs de tension » : une « nourriture différente », des activités « pas à leur goût » est pour le moins surprenant lorsqu’on va dans un pays étranger !
On ne mange pas partout du cheese-burger et de la pizza...Heureusement !
Si a priori le directeur a des responsabilités dans cette affaire, les enfants ne sont, pour le moins pas des saints, et les parents feraient bien de tourner 7 fois leur langue dans leur bouche avant de dire que le voyage a été cher…
Il pourrait l’être beaucoup plus s’il leur était demandé de participer aux réparations des dégradations des hôtels et du car fait par leurs charmants bambins !
Écrit par clemenceau | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : valenciennes, lilles, hongrie | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer | |
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